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Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho


Melissa D. Gutterman
Melissa D. Gutterman
Inscrit le : 08/09/2018
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Avatar : Caitriona Balfe
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Date de naissance : 06/06/1981
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Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Sam 8 Sep - 14:05


Melissa D. Gutterman



Nom : Gutterman• Prénom : Melissa, Deolinda, Joannie • Surnom : Mélasse • Age et date de naissance : 37 ans, 6 juin 1981• Lieu de naissance : New-York City, USA • Études/Métier : Femme au foyer, pour pas dire profiteuse dans son cas précis • Statut civil : Mariée • Orientation sexuelle : Asexuelle, du moins, c'est ce qu'elle prétend • Célébrité sur l'avatar : Catriona Balfe


Physique :



Mélissa métisse d'Ibiza... Et bien non, désolée de vous décevoir, je ne corresponds pas à ce type de beauté. Je tiens plus de Blanche-Neige que de la jeune femme à la peau mordorée. Je suis pâle, très pal secam... Je souris de mes bêtises, mes lèvres s'étirent en un rictus narquois, presque désabusé. On dirait que je suis heureuse, mais crois-moi, je serre bien fort les dents, avec la même dignité qu'un mannequin pour pub de dentifrice. Non, promis, je n'ai pas le fondement bouché par un quelconque ballet. Si tu connaissais ma vie, tu saurais même que... Ne nous égarons pas.

J'ai une magnifique et longue crinière  ébène que je lisse régulièrement. Sinon, en temps normal, la pouliche que je suis les a frisé, très frisés, frôlant parfois l'insolence. Mes beaux yeux bleus, eux, ne reflètent plus ce trait de caractère fougueux et emporté depuis bon nombre d'années. J'ai l'allure d'une femme de mon âge, mais pourtant j'ai la sensation d'avoir vécu bien plus. Même si mon visage a la chance de ne pas encore trop porter le poids des ans.

Je suis grande, mince, avec de belles jambes fuselées. J'ai le ventre et le buste assez plats. Ma paire de fesses bien rondes (pas volumineuses pour autant) contrebalancent ce désavantage flagrant et que je mets en valeurs dans des jolies robes ou jupes. Je passe rarement un tailleur,parfois en pantalon, mais j'essaie quand même de rester classe avant tout. Je suis jolie, je le sais, pas la peine d'en rajouter des caisses, si ce n'est pour faire honneur à la réputation de mon mari. Je prends soin de moi, de ma peau. D'ailleurs, j'essaie de le rester et de m'entretenir uniquement pour cette raison, car à l'intérieur, je ne suis qu'une coquille vide.

J'essaie de faire en sorte de me coiffer avec élégance, de me parfumer, de mettre de beaux bijoux, porter les sacs-à-main ou pochettes adéquates. Mon dressing est remplit de diverses paires de chaussures et d'accessoires en tous genres pour parfaire mes tenues. Je tiens à un minimum de structuration et d'harmonie jusqu'au choix de mon maquillage et de mon vernis.

Il faut souffrir pour être belle... ou bien être belle pour souffrir.

Caractère :



Il y a toujours ce qu'on montre, il y a toujours ce que l'on voit, et toujours ce que l'on est. Melissa est cynique, a le dégoût d'elle-même et tente de le camoufler. Elle aura tendance à donner dans le sarcasme pour donner le change.

En société, elle montre un image soignée et respectable, pour son mari. Elle accepte d'être belle, et de se taire, même si lui, ce n'est pas ce qu'il lui demande. Il aimerait plutôt qu'elle lui parle, qu'elle s'ouvre à lui, et pourquoi pas, qu'elle l'aime un jour.

Mais il est riche, très riche, et elle ne voudrait pas qu'une fausse note de sa part vienne ternir l'image de son mari. Certes, pas profit, parce que si sa société venait à tomber, elle n'a pas envie de se retrouver une nouvelle fois pauvre et à la rue. Elle est angoissée à l'idée que cela puisse se reproduire. C'est une profiteuse, une belle, et certains pourraient la considérer comme une garce, avec raison.

Cependant, sous cette allure égoïste, elle cherche un peu à le protéger au fond. Parce qu'elle se sent redevable de l'avoir sorti de sa propre merde, et surtout, parce qu'elle éprouve de la tendresse pour lui. Ce n'est pas de l'amour, mais elle n'arrive qu'à le voir comme un ami, comme un frère avec lequel elle est très fusionnelle, et pas comme un amant. Elle s'en veut de ne ressentir que cela alors que lui de son côté pourrait aller décrocher la lune pour elle. Oui, elle se sent coupable, mauvaise et se dégoûte. Elle devrait le laisser partir, libre de trouver la femme qui fera son bonheur, mais il ne le pourra pas tant qu'elle s'enchaîne à lui. Elle profite de cet état de faiblesse de sa part, parce que sans lui, elle n'a plus rien... Pas même un ami...

Elle s'est tellement menti à elle-même, elle lui a tellement menti à lui par omission, qu'elle n'arrive même plus à distinguer si elle n'a pas le courage de le quitter rien que pour sa fortune ou bien si c'est parce qu'au fond, elle a énormément d'affection pour lui malgré les années depuis lesquelles elle le repousse. Elle aime Tonny, et il n'est pas né celui qui le lui fera oublier. Elle est fidèle en amour.

Elle ne s'ouvre pas, ni à lui, ni aux autres, sauf peut-être quand elle est un peu éméchée... Elle distille une information ou deux sur sa vie, pour lui donner quelques miettes, pour le faire patienter, alors elle sait que c'est en vain. Déjà ressentir de la tendresse pour lui, c'est quelque chose de phénoménal et c'est probablement parce qu'ils partagent leurs quotidien qu'elle en est arrivée là. Mais dans son cœur, surpassent tristesse et colère, ambition et vénalité.

Elle n'est pas capable de plus, trop dépressive pour se laisser aller à quelque chose de joyeux. Elle a pas mal d'insomnies, qu'elle traitait jusque là par des médicaments, mais cela fait quelques bons mois qu'ils ne font plus effet. Alors elle a choisi l'alcool pour se vider l'esprit jusqu'à se traîner jusqu'à son lit, à quatre pattes. Il arrive même parfois qu'elle s'endorme à côté ou à ses pieds. Parfois, Allen la retrouve allonger, devant sa porte de chambre, comme un chien.

S'il ne la respectait pas autant, cela aurait probablement changé les choses entre eux. S'il l'avait secoué comme un cocotier, qui sait s'il aurait pu lui éviter de sombrer de cette façon. La forcer un peu à aller se coucher ensemble, et rien d'autre, cela les aurait rapprochés, elle aurait pu réagir autrement ou avoir envie de se confier. Mais non, silence radio. Elle est pathétique, elle se sent pathétique. Elle n'a pas une honte opinion d'elle-même. Et elle lui en veut probablement aussi de ne pas avoir cherché à la sortir de son apathie de peur de la brusquer. A prendre trop de pincettes, il s'était rendu, à ses yeux coupable d'avoir abandonné le combat. Ami/ennemi, tendresse, mais lui en vouloir, c'est tellement le paradoxe qui la caractérise...

Parce qu'elle est perdue, confuse, las de la vie, elle ne sait plus ou elle en est, ni ce qu'elle veut ou attend de lui, de la vie, d'elle-même... Et les autres n'en parlons plus. Il aurait suffit à Allen de fouiner dans son journal intime pour savoir tout ce que son cœur recelait de douleur inexprimable pour qu'il agisse de façon à la sortir de cet état.

Hors, elle commet toute erreur qu'une personne qui ne va pas bien reproduit indubitablement, à savoir faire dépendre son bonheur d'un autre. Elle seule peut décider de son sort. Et pour l'instant, elle a abandonné.

De la même façon, elle dépend d'Allen, incapable d'être autonome dans la vie de tous les jours. S'il ne passe pas chaque matin pour l'inciter à aller prendre une douche, à se lever et s'habiller, elle resterait dans son lit, aussi apathique qu'une personne enfermée dans un asile.

Elle est pourtant enfermée en elle-même, et se laisse materner pour donner une illusion de vie. Mais à l'intérieur, elle est morte dés que Tonny a trépassé. Elle se laisse entretenir aussi, pour ne plus avoir à se battre, manquant de combativité. Et pour ne pas retourner à la misère. Et à côté, elle ne peut pas rendre cet amour à son mari. Elle est malheureuse et cela la rend malade. Le pire étant qu'elle lui reste fidèle, même s'il ne foule pas son corps, même s'il n'a jamais pu l'embrasser, seulement la tenir dans ses bras. Elle n'a pas envie de voir d'autres hommes et elle estime au moins lui devoir ça, faute de ne pouvoir lui donner autre chose. Elle ne veut pas non plus le laisser seul, même si elle se sent pourtant inutile envers lui, parce qu'elle en sait pas que sa simple présence le ravi et fait son bonheur à lui.

Elle se sent indigne de vivre, et inutile au monde, mais c'est parce qu'Allen est là, qu'elle n'a pas encore passé l'arme à gauche. Jusqu'à quand cela suffira-t-il?

Histoire :



-Je suis le fruit d’une relation illégitime pourtant je suis bien l’enfant d’un amour sincère et pure. Ma vie est digne d’un soap opera mais réelle. Jensen Jeffords était beau, jeune et talentueux et plein aux as quand il rencontra Nadia. Légèrement impétueux, il pensait que l’argent pouvait tout acheter et quitte à s’embêter à courtiser des filles en leur payant de beaux bijoux à tire-larigot, autant qu’il le fasse s’en sans encombrer pour autant. Il avait jeté son dévolu sur la belle slave qui n’était alors qu’escort girl. Elle le gifla, et lui dit sa façon de penser. C’est ce tempérament emporté qui finit par le séduire. Il la courtisa, elle, et uniquement elle, et réussi à gagner sa confiance. Ils franchirent le pas non pas en temps que client/escort, voire prostituée, mais comme deux amants éperdus. Ils étaient fous l’un de l’autre…

On peut voir la jeune femme faire semblant de régurgiter son champagne au sol. Au lieu de quoi, elle finit par cracher dans son verre comme le faisaient les œnologues pour la dégustation d’un vin.

-Tout allait dans le meilleur des mondes quand grand-papa décida qu’il était tant que son fils se marie pour assurer l’avenir de la compagnie de cosmétiques qu’il avait bâti de ses propres mains à en saigner et gagnée à la sueur de son front. C’était la version officielle, ça. Grand-père avait juste fait faillite, mais un « vieil ami », aux grands capitaux, qui avait besoin de marier sa portugaise de fille à un type au beau parti, en apparence-elle était surtout très laide et même ses copains milliardaires n’en voulaient pas, et stérile, qui plus est-lui avait promis de réinjecter des fonds dans la société et de redresser l’affaire à coup de démarches commerciales, qu’il assumerait lui-même.

Elle déposait une photo sur la table pour qu’Allen Gutterman, son mari, s’en fasse une belle idée. Elle lui avait déjà raconté son histoire, sans déroger à la vérité, et s’en tenant toujours à la même version. Mais il aimait la voir débiter ces histoires, et la suivait des yeux quand elle faisait de grands gestes dignes d’une actrice de théâtre dramatique. Il la trouvait encore plus belle, quand elle était ainsi éméchée, et il ne pouvait que continuer à l’aimer à corps perdu, alors qu’elle n’éprouvait que tendresse pour lui. Il espérait qu’un jour, elle le verrait autrement et succomberait à des sentiments envers lui.

-C’était l’occasion rêvée. Ce qui était un mensonge fut révélé à papa le jour d’après… Sauf qu’il avait également appris que Nadia était enceinte de lui. Il ne voulait pas la laisser en plan, et il l’aimait. Mais ce que grand papa voulait, il l’obtenait toujours, et moi-même j’avais été élevée dans ce schéma dés le plus jeune âge. Il expliqua alors la situation dans laquelle il se trouvait à papa. Si mon géniteur aimait Nadia, et s’il détestait son père pour ce qu’il lui avait demandé il obéit et renonçait à la femme qu’il aimait. Cela dits pas sans conditions. Quand il rencontra sa future femme et son futur beau-père, il fut décidé que Nadia vivrait confortablement. Elle pourrait même être la maîtresse de père, si elle le voulait. Par contre, personne ne devait savoir pour l’enfant, pour moi. Et ma mère dû renoncer à ses droits. Il fut convenu également que je porterais en deuxième prénom celui-de sa future femme. Joannie, mon troisième prénom, c’était en l’honneur de la femme de grand papa.

Elle lui avait bien parlé de certaines choses, mais jamais elle ne s’était montrée aussi prolixe de détails qu’il ignorait jusqu’à ce soir. Elle ne lui avait jamais caché sa vie d’avant, mais lui avait juste donné les grandes lignes. Il l’écoutait alors avec la plus délicate des attentions, assis sur son canapé. Elle tituba un peu et finit par tomber. Il la rattrapa de justesse, et elle se retrouva contre lui, en biais, et ils se regardèrent quelques secondes yeux dans les yeux.. Dieu ce qu’elle était belle, plus belle encore ce soir. Mais il ne se permettrait jamais de la toucher ou de lui manquer de respect… Elle était sa princesse… Et juste pouvoir partager complicité et moments de tendresse lui suffisait. Il ne dit pas qu’il ne s’était jamais retrouvé dans l’embarras en la sentant dans ses bras, contre lui. Elle avait déjà senti son émoi, croissant, contre sa cuisse, alors qu’ils se câlinaient juste comme deux amis. Ce simple rapprochement lui faisait quelque chose, et c’était une torture. Mais cette femme était un véritable trésor, elle en valait le coup.

La suite, il s’en souvenait. Les années avaient passées. Elle avait grandit sans connaître l’identité de sa mère, ne se doutant même pas que sa belle-mère n’était que sa mère adoptive. Deolinda l’avait chérie longtemps, même si ce n’était pas son enfant, puisqu’elle ne pouvait en avoir. Elle n’arrivait même pas à se faire apprécier de son mari qui préférait aller culbuter sa maîtresse cachée que de daigner au moins s’intéresser à elle, qui n’était qu’une autre victime d’un mariage forcé. Prostituée, sans l’être vraiment, en quelque sorte. Il le lui faisait payer, puisqu’en fils obéissant il n’avait pu se dérober à son père.

Elle avait également raconté à Allen, sa rencontre avec Tonny, sur le chantier d’une dépendance que son grand-père par alliance faisait bâtir pour ses 21 ans. Elle avait toujours grandit dans une cage dorée. Ils avaient été amenés à se croiser des tas de fois, alors qu’elle surveillait l’avancée du chantier. Elle l’avait trouvé plutôt mignon, et l’histoire semblait se répéter. Ils se fréquentèrent un peu en cachette, quand il pouvait se libérer, à la nuit tombée. Elle faisait le mur et ils allaient se balader au clair de lune, aux alentours du chantier. Jamais ils ne consommèrent leurs relations. On lui avait appris dés le plus jeune âge qu’il ne fallait pas se mettre dans une situation compromettante, qu’il fallait attendre d’être mariés pour jouir d’une réelle relation. Elle avait attendu, mais le chantier étant terminé, il devenait de plus en plus difficile pour eux de se voir. Ils patientèrent encore deux ans puis décidèrent qu’ils n’en pouvaient plus de se cacher. Soit ils arrêtaient, soit ils officialisaient leurs relations au grand jour. Ils prirent la deuxième option et son propre père lui posa un ultimatum. Soit elle poursuivait, soit il la déshéritait et la bannissait purement et simplement.

Elle alla s’enfermer sa chambre à double tour, de colère. Elle avait tout de même 23 ans, elle pouvait être elle-même maîtresse de son propre destin. Elle ne voulut ouvrir à personne et c’est sa belle-mère qui vint frapper au petit jour à sa chambre. Elle comprenait sa situation, et à force de persuasion la jeune femme avait fini par lui ouvrir, les joues rougies et le nez proche de celui d’un clown et abîmé. C’est là qu’elle lui révéla tout. Si au début, elle n’y croyait pas, il lui suffit d’avoir les papiers d’adoption sous les yeux et le renoncement de sa mère biologique à ses droits parentaux pour réaliser que c’était vrai.

Elle ne réalisait pas, ce que c’était de travailler, d’avoir un salaire et de devoir vivre par ses propres moyens, en autonomie. De devoir s’assurer un logement et que les robes hautes coutures de ne s’obtenaient pas en claquant des doigts. C’est tout naïvement qu’elle proposa alors à Tonny de fuir avec elle, après avoir soufflé ses 23 bougies. Ils quittèrent les beaux quartiers de la demeure familiale pour louer un appartement miteux à New-York, pas trop loin des docks, avec le maigre salaire de son petit ami. Ils voulaient mettre de côté pour se marier. De toute façon Tonny, catholique, voulait attendre avant de faire quoi que ce soit. Et il l’aimait trop pour la « déshonorer ».

La vie à New-York n’est pas facile, encore moins quand on n’a pas un sous. Tout ce qu’ils avaient grâce au nouveau travail de docker de Tonny, ils le mettaient de côté pour payer le loyer et l’électricité, excessivement chers, avec un salaire pour deux. Elle n’était pas habituée à une vie si rude et modeste, mais elle tint bon, par amour. Elle voulait même se mettre à travailler, lassée des sacrifices qu’ils avaient à endurer. Il refusait. En bon macho qui se respecte, il pensait que l’homme devait subvenir aux besoins de sa femme. Il se bousilla la santé, pour elle, pour qu’ils puissent se marier, pendant des années durant (25 ans). Ils se disputèrent souvent, ayant du mal à joindre les deux bouts. Un jour, sans lui dire, elle revint avec une paye. Elle le rassurait, elle ne faisait que servir dans un restaurant, même si la réalité était qu’il s’agissait d’un bouge. Elle servait, se faisait peloter contre son gré, mais jamais ne lui aurait avoué, de peur qu’il aille casser la figure à la clientèle, et recadrait les types. Jamais elle ne les aurait laissé faire. Elle finit d’ailleurs par perdre ce job, quatre ans plus tard (29 ans), quand elle gifla un milliardaire de passage, qui fuyait sa vie en fréquentant les bas quartiers. Résultat, le mariage fut repoussé encore et encore, et sans rentrer dans les détails, ils trouvèrent des façons de tromper leurs attentes sexuelles sans pour autant entamer la virginité de la jeune femme.

Si elle pensait vivre en Enfer, elle était loin de se douter qu’elle n’en avait eu qu’un avant goût. Ils durent déménager pour un appartement plus modeste, et pendant un an, elle dut composer avec la vermine, des cafards, cohabiter parfois avec des rats. Ils finirent par ne plus vivre qu’avec quelques effets, en clandestinité, sur l’un des bateaux pour lesquels il bossait. Tonny finit enfin par céder et laissa sa femme retrouver un travail ailleurs(30 ans). Elle faisait des ménages dans divers entreprises.
Cette entreprise où je la rencontrais pour la première fois. Elle m’avait donné un rouleau de papier toilette en voyant ma mine perdue alors qu’elle effectuait très tôt son service. Je n’avais pas osé l’approcher de peur de la déranger dans sa démarche. Et le naturel avec lequel elle m’avait dépanné, en me lançant une boutade, sans prendre en compte mon costard Armani m’avait charmé. On avait rit de bon cœur. J’étais loin d’imaginer qu’elle deviendrait un jour ma femme, même si je m’étais fixé cet objectif. Elle m’avait même oublié. En même temps, normal, quand on sait ce qui suivit l’année d’encore après. Tonny décéda des suites d’un cancer généralisé. Ce qui expliquait pourquoi il lui avait cédé aussi facilement l’année précédente. Il voulait qu’elle puisse se débrouiller quand il ne serait plus là. Il ne lui avait appris la vérité que quelques mois avant de passer l’arme à gauche.  

A 31 ans, elle se retrouvait veuve, sans avoir été mariée, avait perdu l’amour de sa vie, et devait désormais se battre seule. Elle n’avait pas un ami, plus de contact avec sa famille, et elle ne se voyait pas faire de retour en arrière. Elle avait finalement pensé à sa mère et trouver la vie tellement sordide. L'ironie du sort...

Elle reprend la parole. Elle s’est endormie dans mes bras et ne s’en est même pas rendu compte. C’est parce que j’ai osé passer ma main dans ses magnifique boucles qu’elle avait sursauté et attrapé une nouvelle coupe de champagne qui trônait sur la table, tout en écrasant de ses beaux talons le verre qu’elle avait laissé choir en me tombant dans les bras tout à l’heure.

-Et tu te souviens quand j’étais escort et…
-Je vais te raccompagner à ta chambre, tu devrais laisser ce verre et te reposer ?
-Allen… Allen… Non, pas toi, pas mon meilleur ami… Tu vas pas me dire quoi faire ?

Ses paroles me brisèrent une nouvelle fois le cœur, mais j’étais près à accepter le prix, à tous les sacrifices tant que je pouvais toujours me trouver sur son sillage. Elle aurait même pu me tromper de façon éhontée, je m’en moquais bien, tant qu’elle continuerait à vivre sous mon toit, à me parler. Je savais pertinemment qu’elle profitait de moi, de mon argent. Elle avait tant souffert… Et de toute façon, quand elle me demandait quelque chose, j’étais incapable de lui refuser. Surtout quand elle me regardait comme ça. Je regrettais simplement de ne pouvoir simplement lui apporter le bonheur qu’elle avait perdu. Je savais malgré tout qu’elle m’était fidèle, probablement par respect pour moi, comme elle se plaisait à me le dire, mais je savais surtout qu’elle ne voulait que personne ne la touche pour ne pas trahir l’homme qu’elle aimait depuis toutes ces années, même après sa mort.

-Comme tu voudras… Mais je ne veux pas que tu te fasses mal… Tu bois beaucoup trop depuis quelques temps… Et j’ai vu ce qu’on ton « médecin » te prescrit depuis quelques jours…  Je m’inquiète pour toi… Depuis quand prends-tu cette cocaïne ? Tu ne vois plus le professeur Berhardt pour tes cauchemars… Parle-moi… Je t’en supplie… Je peux tout endurer, mais pas savoir que tu te détruits à petit feu…
-J’ai pas encore pris la coc… Tonny n’aurait pas aimé… Donc… Et tu te souviens quand j’étais escort… Pas un mec il m’a touché, sauf…à ça… Enfin, juste un, parce que t’es arrivé, avec ta belle gueule, deux jours après, pour me parler… Tu voulais que je sois ta professionnelle personnelle…

Elle se frotta de dos, contre moi, à un endroit stratégique puis me laissait en paix.

-Et toi je t’ai rencontré. T’es le seul à pas m’avoir proposé alors que t’en mourrais d’envie. Et on a parlé toute la nuit… Pourquoi t’en n’as pas profité ???
-Parce que je t’aime… Je t’aime depuis que je t’ai rencontré dans ma société… Quand tu faisais le ménage… Je t’aime encore maintenant des années après.

Jusqu’alors, je ne le lui avais jamais dit ouvertement, mais ce soir c’était notre anniversaire de mariage. Nous étions ensemble depuis plusieurs années, et j’aurais aimé qu’elle fasse un effort. Mais elle était ivre, ou bien était-ce encore une énième excuse pour me repousser ?Je la raccompagne à sa chambre sans lui demander son avis, c'est pour son bien, et quand elle ferme derrière moi, à clé, je l’entends s’asseoir au sol et pleurer… C’est la première fois en 5 ans que je l’entends craquer, et je me fais violence pour ne pas défoncer la porte et aller l’embrasser sans lui demander son avis. Melissa, non, ne pleure pas... Tu me fends le cœur. J’ai trop de respect pour elle pour mettre ce plan à exécution et l'entendre pleurer ne fait que me rendre encore plus malade. Je quitte alors le pas de sa porte pour regagner mes propres appartements. Moi-même je n’ai jamais touché une autre femme qu’elle, car je l’ai dans la peau. Mais ce soir, je comprends que c’est peine perdue, et je sens mon cœur battre à cent à l’heure. J’observe les substances que j’avais trouvées dans son sac à main, dans des petites boîtes de fortune. Je sais qu’elle n’a pas menti. Elle n’a touché à rien. Je les envisage quelques secondes, puis je secoue la tête en les balançant dans l’évier. Je n’abandonnerai pas. Je ne l'ai pas fait déménager dans notre villa à Austin depuis deux ans pour rien. J’espérais que ça la ferait oublier son Tonny... J'étais loin du compte.


Prénom/Pseudo : Momo le veau • Âge : 34 • Présence : Autant que faire se peut • Comment as-tu connu le forum ? Quelque part entre facebook et les tops sites • Premier compte ou multi-compte ? TC • Quelque chose à ajouter ? Promis je ne ramène pas Melissa en cb tant qu'elle n'ira pas mieux XD


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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Sam 8 Sep - 14:07

Rebienvenue;)
Marlon Ramirez
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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Sam 8 Sep - 17:23

Car pour moiii, tu es la plus belle, oh tu me donnes des ailes! Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho 3418955226

Faut pas que Seb voie ça Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho 2974770436

Rebienvenue ^^
Tyler L. Redfield
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Mes rps : dispo par MP^^, avec une idée quand meme XD







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- Il est célibataire depuis quelque mois
- Il a les yeux bleu mais porte des lentilles marron, il n'y a que Matt, sont petit frère, et hades, son amant, qui soit au courant. peu etre son grand frere aussi ...
- Il a un tatouage d’ailes d’ange dans le dos, un des ailes est normal et l’autre n’est fait que d’os, il a aussi deux piercing a la langue horizontalement, et un plus intime.
- Il a un chiot husky yuki offert par Ryan avant sa mort.
- Il est toujours puceau T-T.
- Il a perdu son premier amour (Ryan Carter) dans un accident de voiture, ou lui a surveccu.
- Il est co PDG de la Carter corps car Ryan la mit dans son testament.
- Il a aussi hérité de la fortune et d'autre bien de Ryan.
- Il essaye de tourné la page et de grandir mais il n'y arrive pas toujours.

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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Dim 9 Sep - 0:39

Trop tard melon XD

Re bienvenue ^^
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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Dim 9 Sep - 11:31

Re-bienvenue bella heart
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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Dim 9 Sep - 18:35

Rebienvenue !
Kathlyn Espinosa
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Kathlyn Espinosa
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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Dim 9 Sep - 23:38

Merci vous êtes choux!
Neil Woodman
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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Lun 10 Sep - 14:01

Je te déteste ! J'ai cette chanson débile dans la tête maintenant !
Re bienvenue quand même Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho 3760029289
Melissa D. Gutterman
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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Lun 10 Sep - 17:09

:) M'en veux pas trop, Neil, de grâce!

Chamallow, merci d'avoir pris le relais de la suite au fait XD
Raphael Blaxtone
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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Lun 10 Sep - 18:54

Rebienvenue avec cette petite nana !
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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Mer 12 Sep - 21:43

Merci Raphaël! Me manque plus que le caractère à faire :) Désolée pour la trop longue histoire... Et encore, j'ai abrégé XD
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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Jeu 13 Sep - 7:33

Rebienvenue, amuse toi bien avec ce nouveau perso
Morrigan Davenport
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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Jeu 13 Sep - 9:38

Merci Sienna ^^

Nell, je suis pas sûre de pouvoir finir ma fiche aujourd'hui.

Je sais que j'ai encore un peu de temps mais je peux quand même demander une rallonge de deux ou trois jours, au cas où?

Merci. Biz
Nell Maisonneuve
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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Ven 14 Sep - 23:28

Pas de soucis Wink
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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Dim 16 Sep - 13:44

Merci Nell j étais finalement dans les temps :)
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Re: Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho, le Lun 17 Sep - 22:30


Félicitations, ta fiche est validée !


Bienvenue sur LBS !  Melissa, non ne pleure pas, ouhoouhoouho 929982699

C’est le moment de te jeter à l’eau et de te mêler aux habitants de notre belle ville !   N’hésite pas à ouvrir un ou plusieurs RP libres ou à mpotter les membres ou le staff pour un sujet, tu verras, on attend que ça !  
Si tu veux pimenter ton jeu avec des défis, trouver des sujets libres qui n’attendent que toi ou trouver des coupains avec qui jouer, fais donc un petit tour par ICI !  
Pour ne pas que ton personnage se retrouve à dormir à la belle étoile, n’oublie pas d’aller demander un toit et si tu n’aimes pas la solitude, profites-en pour réclamer un ou plusieurs colocataires !
Tu peux également créer ton Journal de Bord où tu pourras entre autres répertorier tes liens et tes sujets ainsi que noter tout ce que tu veux au sujet de ton personnage. Tu as carte blanche !
Pour terminer, je te laisse le lien du Guide du Forum qui t’aidera sans doute si tu te sens un peu perdu(e).   Si tu as d’autres questions, ma boîte à MP ainsi que celle des autres membres du staff est toujours ouverte !  
Bon jeu !

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