stanislas seidel
Nom : Seidel, un patronyme aussi allemand que l'était son père, originaire de Köln plus précisément • Prénom : Stanislas, un joli prénom que sa mère a choisi, en l'honneur de son amour pour la langue polonaise • Surnom : Stan, un surnom qui sonne bien américain, et qui lui a permis de bien s'intégrer à Austin • Age et date de naissance : cinquante-cinq printemps, Stan est né le 12 août 1963 • Lieu de naissance : New-York • Études/Métier : Chirurgien spécialisé en digestif et viscéral, un métier qui le passionne et pour lequel il passe le plus clair de son temps à l'hôpital en blouse blanche • Statut civil : Divorcé • Orientation sexuelle : Hétérosexuel, Stan aime les femmes • Célébrité sur l'avatar : Hugh Laurie
Physique & Caractère :
Stanislas ne sait jamais se décrire aux gens, en dehors de la base. Alors, il dit qu'il est grand, brun même si ses cheveux tirent petit à petit vers le gris, et qu'il a les yeux bleus. C'est ainsi que se limite son autoportrait. En réalité, il oublie qu'il a aussi une carrure assez sportive, qu'il est un peu musclé, même si tout le monde lui dit tout le temps qu'il est tout fin, voire maigre. Souvent, on le verra habillé d'un joli ensemble comportant un pantalon de costume et une chemise (mais pas boutonnée jusqu'au dernier bouton !), mais c'est généralement en blouse blanche qu'il se promène. Ses cheveux n'ont jamais pu être domptés par quelque produit que ce soit, et ils sont toujours en bataille.
Quand on lui demande ses plus grandes qualités et ses pires défauts, Stan est aussi peu prolixe que sur son physique. «
Je suis gentil et je travaille beaucoup. » C'est un tout petit plus que cela. Certes, il peut être gentil, mais manque parfois de tact, avec ses patients comme avec ses collaborateurs et coéquipiers. Il est particulièrement hautain lorsqu'il s'est levé du mauvais pied. Quand tout va bien et qu'il est de bonne humeur, il est très blagueur, a toujours un sourire pour les personnes qu'il croise et qu'il reconnait. Et il en connait des gens, vu le nombre d'heures qu'il passe à travailler à l'hôpital : il lui arrive de passer des jours entiers dans son bureau, au bloc ou dans son service, avec simplement quelques heures de sommeil au compteur. Il a un très bonne élocution, mais n'est pas forcément des plus à l'écoute s'il a la volonté d'être dans l'action et de faire avancer les choses.
Histoire :
Né en 1963 à New-York, d’un père allemand, naturalisé américain et d’une mère originaire de Philadelphie (Pennsylvanie), Stanislas Seidel était voué, par son ascendance, à devenir un grand chirurgien. La neurochirurgie était ce qui guidait son père depuis de nombreuses années. Sa mère, quant à elle, était assistante de direction dans une maison de prêt-à-porter de luxe. Cette famille n’avait jamais connu la misère, et jamais personne du nom de Seidel ne la connaîtra, probablement. Rapidement rebaptisé Stan par toute sa famille et ses amis, le jeune garçon a vécu une enfance tout à fait banale, ponctuée par ses jeux dans la cour de récréation, l’apprentissage de la lecture, et l’arrivée de son petit frère, Isaac, de cinq ans son cadet, devenu, par la suite, astrophysicien au sein de la NASA.
Le petit Stan grandit entouré d’amour, d’argent et au sein d’une famille plutôt stricte. La religion n’y avait jamais eu de place très importante, à la place d’aller à la messe, le dimanche, les parents emmenaient leurs enfants dans des parcs, dans des bibliothèques, dans des lieux culturels, ce qui développa considérablement le sens artistique et l’envie de découvrir le monde du jeune Stan. Sa mère commença à lui apprendre le piano vers l’âge de sept ans, un instrument qu’il continua de pratiquer très assidument jusqu’à son entrée en études supérieures, où il dut abandonner, faute de temps. Il lui arrive encore d’y jouer, de temps à autres, il a d’ailleurs un piano droit chez lui, qu’il a hérité de sa grand-mère maternelle. Toute son enfance, il a été bercé dans l’idée qu’il allait devenir chirurgien, comme son père, que cette place lui revenait de droit car il était l’aîné des deux garçons.
C’est donc dans cette optique qu’il grandit et qu’il poursuivit ses études, avec toujours cette façon acharnée d’étudier. Il passa son adolescence dans un internat de New York, ses résultats étaient au beau fixe. Ce fut la période de toutes les nouveautés, Stan découvrit le sport, l’alcool et les filles… Il adorait avoir seize ans, sans toutefois tomber dans les excès que certains de ses camarades rencontraient. Son objectif était de réussir ses examens, objectif qu’il garda tout le long du reste de ses longues études de médecine. Il décrocha une bourse et entra alors dans ses quatre années d’études préliminaires.
Ce n’est qu’au terme de quinze années de travail acharné et d’études incroyablement longues que Stanislas put enfin prétendre à travailler tout seul, vraiment seul, sans personne pour le contrôler et lui dire ce qu’il devait faire ou non. Son parcours fut exemplaire, il n’a jamais loupé une année, et c’est à trente-trois ans qu’il décrocha son titre de Docteur spécialisé en Chirurgie viscérale et digestive. Trouver une spécialisation n’avait pas été une tâche facile. Il n’avait jamais véritablement su ce qu’il voulait faire et ce qu’il voulait traiter. Il a eu le déclic lorsque l’un de ses oncles se vit diagnostiquer un cancer du pancréas, toujours incurable aujourd’hui. Âgé à l’époque de vingt-sept ans, il se jura de trouver un remède à cette maladie.
Son résidanat dura sept ans, durant lesquels il expérimenta tout ce qui était possible d’expérimenter avec les femmes des services dans lesquels il travaillait. Il passait tout son temps à l’hôpital, préférant s’occuper de ses patients que de rentrer chez lui pour avoir une bonne nuit de sommeil, ce qui le rendait aussi brillant qu’arrogant pour ses coéquipiers ou ses supérieurs. Et lorsque tous les patients étaient soignés, Stan le tombeur se chargeait du personnel soignant : il se targuait d’avoir de nombreuses conquêtes au sein de l’hôpital. Il se calma rapidement après avoir obtenu son diplôme final et lorsqu’il eut d’autres responsabilités à gérer… et bien sûr, lorsqu’il rencontra le médecin qui allait devenir son épouse. C’était lors d’un congrès organisé à Boston, par un laboratoire spécialisé dans la création de nouveaux médicaments. Elle était originaire d’Austin, et Stan en tomba éperdument amoureux, au point de la suivre dans sa ville d’origine dès qu’un poste se libéra dans l’hôpital général de la ville. Exit la grosse Pomme, il déménagea dans le Texas.
A trente-sept ans, il était chef de service dans un nouvel hôpital et marié à celle qu’il considérait comme la femme de sa vie, la plus belle femme du monde. Ils furent heureux de longues années. De leur union naquit une petite fille, en 2002. Elle a désormais seize ans, donc. Mais toute belle histoire peut avoir une fin moins heureuse, et leur couple ne tint pas le cap des dix ans de mariage. Ils divorcèrent en 2010, après une quinzaine d’années de vie de couple. Si la bonne entente était de mise, Stan resta plutôt en retrait, et froid, dans cette affaire, parce que c’était elle qui voulait partir et qu’il aurait préféré garder ce cocon familial. Mais il n’était pas assez présent, il le concevait. Entre choisir son boulot ou sa famille, il n’y avait pas photo et le travail primait sur tout. Il ne repartit pas à New York, préférant rester auprès de sa fille pour la voir le plus souvent possible, quitte à aussi croiser très régulièrement son ex-femme.
Depuis cette fin de relation, il n’a plus tenté le coup avec une autre, même pour un coup d’un soir. Il a surtout estimé qu’il était trop vieux pour ces conneries, et qu’il était temps qu’il sache se calmer. C’était sans compter sur cette jeune infirmière qu’il dragouille désormais par textos, et qui répond au doux de Meredith…
Informations complémentaires :
Instrument joué? Le piano, cet instrument si noble dont jouait également sa mère •
Animal de compagnie? Un chat, prénommé Côme, mais qu'il surnomme affectueusement "
Le Chat" •
Sport pratiqué? Il pratique la course à pied,
d'ailleurs il court toujours entre tous ses patients et tous ses blocs, et dès que son emploi lui permet, il tâche de toujours s'armer de sa raquette de tennis •
Ton style de musique favori? Le bon vieux rock anglais, le blues, la musique classique... Stan mange un peu à tous les râteliers. •
Langues parlées? Anglais, évidemment, Allemand, il est bilingue, un peu de Polonais grâce à sa mère qui en était folle, et un peu de Français, parce qu'il aime cette langue •
Plat favori? Son péché mignon : les pâtes carbonara, bien préparées avec une grosse dose de parmesan •
Allergie(s)? Il est allergique aux pollens, aux acariens et à la poussière, ce qui lui cause de réels problèmes respiratoires au printemps... et plus généralement toute l'année •
Un talent caché, art(s) pratiqué(s)? Hormis la musique, il n'y a pas grand chose qu'il a réellement temps de pratiquer, malheureusement. Si la médecine est un art, ceci dit, il est très doué dans ce dernier •
Pays visités? Les Etats-Unis, bien sûr, qu'il a quasiment visités de long en large, l'Allemagne, la Belgique, la France, et le Mexique, quand il décide de partir en vacances au soleil. Prochaine destination : le nord de l'Europe •
Moyen de locomotion? Son sang l'y oblige presque, il roule en allemande, et son amour de la vitesse lui a hurlé de choisir une BMW *très* grosse cylindrée, importée directement d'Allemagne
Prénom/Pseudo : Clémence / casielsilencio sur les réseaux •
Âge : 23 •
Présence : régulière, je l'espère, mais bien souvent le soir j'ai super envie de me perdre sur youtube
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Comment as-tu connu le forum ? c'est Meredith qui m'a ramenée ici
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Premier compte ou multi-compte ? premier compte pour moi •
Quelque chose à ajouter ? j'adore déjà cet endroit
j'adore le concept, et un forum d'antan, c'est tout ce qu'il me fallait