Morrigan DavenportI did it my way, but I got you, under my skin Inscrit le : 25/10/2017
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Date de naissance : 24/10/1983
Bloc notes : A venir: Sonny, Alexis.
| Réveil difficile... ou presque...[PV Julian Mariano], le Mer 1 Nov - 19:29 |
| Je ronfle comme un porc quand j'ai fais la chouille la veille et que j'ai été fortement alcoolisée. C'est pas franchement sexy, non, vraiment, mais qui s'en soucie quand il dort... De toute façon, à moins qu'on nous le dise, on ne s'en rend pas compte, et même si ça la fiche mal, on ne peut rien y faire...
J'ai bavé sur ce que j'identifie comme mon oreiller, quand je me réveille. En fait, ce sont surtout les rayons de soleil perçants à travers les fenêtre qui m'ont fait émerger, sinon, je serais encore en train de dormir à l'heure qu'il est... J'ai mal à la tête, très mal... Une migraine d'enfer...
Je suis un peu désorientée, j'ai dû mal à ouvrir les yeux et je ne sais pas bien où je suis ou comment je suis arrivée là. Échevelée, en soutien-gorge, je descends de ce que je suppose être mon lit au départ, mais la façon dont je heurte le sol comme une grosse porcasse me laisse comprendre que j'ai fais une chute de bien plus haut... Et que du coup ce n'est pas normal:
-Merdeuh...
Je me bouche les oreilles, rien que de m'entendre parler m'insupporte. Puis je tâtonne pour retrouver mon haut, encore misérable, toujours à même le sol. Je ne l'enfile pas tout de suite, rien ne presse, et je pense encore être seule ici, puisque je me crois chez moi...Enfin, je m'y croyais encore quand je regardais l'endroit de mon supposé lit, pour découvrir, une table de médecin... enfin, vous savez, ce fauteuil d'auscultation sur lequel on sait jamais comment s'asseoir pour pas craquer l'espèce de longue feuille essuie à usage unique et tout qu'ils mettent pour pas infecter les patients suivants...
-Oh putain... Je suis où?
Je devais avoir dormi à peine deux heures, ou trois, je n'avais pas encore décuvée, et je sentais la nausée monter. Les fêtes d'étudiants, c'est cool, mais ce n'était pas la première fois que je me retrouvais en milieu inconnu. Je ne savais même pas qu'une personne était rentrée dans la pièce, ni quand, mais j'arrosais allègrement ses chaussures, sans pouvoir me retenir. |
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