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he trip when he on it


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Re: he trip when he on it , le Sam 13 Jan - 23:32

 
he Trip When He On It

Je l'écoute me parler de son pays et je rêve maintenant d'y retourner avec pour guide, un rital, un vrai de vrai qui n'aurait d'yeux que pour moi. Digne des Vacances Romaines sur un vespa, s'arrêtant non loin d'un bar, un petit cappuccino devant nous accompagné du meilleur tiramisu du pays. Son langage me rend fou. Même si je ne comprends rien, même s'il m'insultait en sa langue natale, c'est quelque chose qui me fait tourner la tête, prêt à lui ressauter dessus pour un second round. Même lorsqu'il me dit que lui-même en temps qu'italien il prend parfois une cuillère, je ne réagis même pas, le bouffant du regard, un sourire presque niais aux lèvres. Je suis envouté par cet être que je ne connais réellement que depuis quelques heures à peine. Il me retourne la question, ce qui me fait sortir de ma rêverie. "Je... Oh mes racines. Paris. Tout le monde en rêve, la ville lumière. Oui c'est beau, il est vrai. Les attractions touristiques, on y trouve tout ce dont on a envie comme dans n'importe quelle capitale. Les gens ne sont pas vraiment sympathiques. Ils tirent la tête, ne sont pas vraiment polis et te toisent alors que tu n'as rien demandé. Ils sont même parfois prêt à t'agresser verbalement tout ça car tu as eu le malheur de les regarder alors que ce n'est pas eux que tu fixais de base. Non, les parisiens, c'est la chose la plus nulle qu'il y a dans cette ville. Autant pour moi, il y a tellement d'étrangers, que rares tu remarques les gens de Paname et que tu les côtoies. Après, entendre la belle langue de Molière, ça a toujours son effet." lui répondis-je en lui adressant un sourire éphémère. J'aimerais dire pareil que lui au sujet de notre endroit natif mais Paris ne me manque pas du tout. Rien dans cette ville me manque. Métro, boulot, dodo. Ca va deux secondes. Je ne peux vraiment le supporter. Je regarde mon assiette et prends plusieurs bouchée d'affilé. L'appétit vient en mangeant et j'ai maintenant une faim de loup. J'avale tranquillement et bois un verre pour accompagner ce festin puis me racle la gorge. "Et, y'a-t-il des destinations qui te font rêver? Peut-être si tu en as marre de tes élèves, ou moi des miens, ou les deux en même temps, on peut voir pour se barrer une semaine et se mettre en absence durant ce temps, histoire d'avoir les pieds en éventail, à se dorer la pilule au soleil." lui dis-je en lui faisant une chose que je n'avais pas fait depuis longtemps; un clin d'oeil. Je mange encore un peu et pose mes couverts sur la table pour prendre ma serviette et m'essuyer les coins de ma bouche. "Ce n'est pas une idée farfelue. Je ne te connais entièrement mais je t'apprécie et je suis même prêt à construire quelque chose avec toi si toi aussi tu le désires." lui dis-je. Je faille m'étouffer en me rendant compte de ce que je venais de dire. Je... Je viens réellement de penser à voix haute? Mais quel imbécile! Je prends mon verre que j'enfile d'un trait sec pour oublier la remarque faite. Je reprends mes couverts et continue de manger rapidement, pour vite mettre fin à cette conversation que je viens de ruiner. Je n'ose même plus le regarder et retire peu à peu ma jambe de la sienne bien que ce contact ne me dérangeait guère de base.
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Re: he trip when he on it , le Sam 13 Jan - 23:52

Tu sens son regard planté dans le tien, et tu manques défaillir en t’apercevant de la portée qu’ont vos actes ; il est fou de toi, tu le lis dans ses pupilles, et tu penses que tu pourrais toi même céder à cette douce folie, passion amoureuse que ton cœur avait peu à peu chassé de tes chastes pensées. Il faut dire que ce mot avait une telle portée pour toi : passion, c’était t’attacher à quelqu’un d’autre, ressentir ses douleurs, éprouver ses failles, et toujours succomber à chaque regard peu à peu apprivoisé. C’était se planter volontairement une dague dans la poitrine, et crier qu’on adorait ça si ça pouvait faire danser une flamme dans les yeux de l’autre. Et tu ne connaissais Louis que depuis quelques heures, mais tu pouvais déjà affirmer que c’était la suite logique des choses. Que tu t’emballerais, comme toujours, et que tu te laisserais aller à cette filature de tes sentiments, à les observer de loin pour les appuyer davantage. C’était souvent ainsi, tu te laissais manipuler par tes émotions, et d’un autre côté… Tu ne cherchais pas vraiment à les combattre, si ?

Perdu dans tes pensées, tu n’avais entendu que quelques bribes de ce que Louis t’avait dit, et tu t’étais peu à peu rendu compte que ton regard était perdu dans le sien. Pris d’une angoisse soudaine, tu rougis instantanément, encore, et tentais de te réfugier en prenant une bouchée de salade. Tu tentais de reprendre le fil de la conversation. « Paris, oui, c’est une très jolie ville. Ma mère m’y avait amené, petit, pour que l’on aille voir ma tante, qui tient une boutique du côté des Galeries. » Tu t’interrompais, lui faisant un sourire qui trahissait à la fois cette gêne que tu avais de tout lui dévoiler de toi de cette façon, n’ayant aucunement l’habitude de te confier, et en même temps ce plaisir que tu ressentais en lui parlant. « Toutes les destinations me font rêver. Et partir avec toi serait un rêve aussi. » Ta main vint de nouveau se poser sur la sienne ; tu étais un peu gêné, c’est vrai, mais les mots venaient naturellement, encore et toujours. Son autre remarque te fit virer au carmin, et sa jambe quitta la tienne sous la table. Tu en étais attristé sur l’instant ; qu’avais-tu donc fait de mal ? Tu choisissais d’apaiser les choses, sentant son anxiété revenir. « Il est encore tôt pour parler de construire, mais ça me plairait moi aussi de continuer sur cette lancée avec toi. Tu... » Les mots ne voulaient plus sortir, et c’est une vraie lutte interne que tu mena pour enfin les faire quitter ta bouche. « Tu me plais énormément, beaucoup plus que n’importe qui depuis longtemps. »
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Re: he trip when he on it , le Dim 14 Jan - 2:38

 
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Je suis bien heureux d'entendre que ce dernier a déjà vu et connu mon pays. Non pas que ça le fasse monter dans mon estime, mais au moins, si je devais lui parlais de quelques souvenirs d'enfance, je pourrais lui mentionner des lieux classiques et il pourra ainsi se faire une image et se reproduire la scène dans la tête et ça me fait chaud au coeur. Plus la conversation évolue, plus je sens le rouge venir sur mes joues. Toutes les destinations? Vraiment? Faudra que je l'amène en Ardèche ou dans la Creuse voir s'il continuera à penser ainsi. Je rigole intérieurement, sans ne rien laisser transparaitre. Je relève la tête à ses réponses et lui adresse un sourire sincère, mes joues tournant de plus en plus au rouge tomate. Je ne sais pas vraiment pourquoi je suis anxieux comme ça parfois probablement car "Je n'ai pas l'habitude de parler de ce que je ressens en général. Je ne suis pas un coeur de pierre et je ne suis pas dépourvu de sentiments, bien au contraire, mais la plupart du temps, je ne montre rien et je fais des actes ou réponds sur des tons, au point que les gens pensent que je suis sans coeur." lui dis-je en baissant le regard avant de poser ma main sur la table en espérant que Milan la recouvre de la sienne. "J'ai vécu parfois des choses qui font que j'ai tendance à fermer cet aspect de moi, comme pour me protéger je dirais. Enfin, c'est probablement et sûrement le cas. J'ai juste peur de vivre une déception qui me sera encore douloureuse. Après, je sais très bien comment je réagirais si ça devait arriver. Je serais en mode "oui très bien, une de plus, flemme, je m'en fous, ça me pince un peu le coeur mais l'histoire de quelques secondes" et c'est vraiment ce qui se passe." continuais-je en reprenant mes aises un peu plus après chaque phrase. Je tends lentement ma jambe jusqu'à frôler la sienne. Je me mets à rigoler doucement. "Vraiment. Je ne sais pas ce qui est le plus triste ou le plus pathétique; le fait de ne plus rien ressentir, ou se persuader de ne plus rien ressentir au point que ça en devienne presque un fait." ajoutais-je en redressant le regard sur lui. Je récupère mes couverts et tente de finir mon plat. En vain. Je me suis coupé tout seul l'appétit à cause de mes conneries. Je repose ma fourchette, prends une grande inspiration que je relâche et lui adresse un franc sourire. "Mais c'est en confiance que je dis haut et fort que oui, Milan, je ne précipiterai pas les choses, que notre relation se créera en temps et en heure mais que j'espère qu'elle sera sans limite, fondée et solide." concluais-je en maintenant mon timide sourire avant d'acquiescer et de reprendre mon repas.
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Re: he trip when he on it , le Dim 14 Jan - 20:41

Le voir ainsi sourire te rend heureux ; il a ce je ne sais quoi qui te séduit, qui te rend fou de lui. Il rougit de plus belle, comme toi, et vous imaginer ainsi, deux tomates à une table qui lui reviendra sans doute plutôt chère, ça te fait sourire naïvement. Il est toujours aussi anxieux, mais tu sens qu’avec lui, toutes tes peurs, même les plus profondes, pourraient trouver un réconfort ; alors tu te laisse aller, et tu te dis que c’est le temps qui fera les choses. Après tout… Rien ne presse. Vous avez toute une vie devant vous pour apprendre à vous connaître. Le voir se confier te serre presque le cœur : alors, lui aussi, il voudrait dévoiler un peu plus ses pensées ? A cela ne tienne. « Je vois bien que tu n’es pas ce genre de mec là, Louis. Tu es quelqu’un de vrai, quelqu’un de sincère, et que tu me parles de toi me fait plaisir. J’adore écouter tes ressentis. J’adore écouter tes analyses. J’adore t’écouter. » La révélation s’apprête à sortir, mais reste comme bloquée, une nouvelle fois. Alors tu mobilises toutes tes forces, et tu triomphes. « Je t’adore. » Tu ne te sens pas rougir et cela t’émeut ; vraiment, est-ce qu’il arriverait à te changer, en bien ? Tu l’espères, dans l’instant. « Ton passé fait de toi ce que tu es, et tu n’as pas à te soucier de ce que les gens peuvent bien penser de toi, Louis. Tu es quelqu’un de merveilleux… J’veux dire, j’te connais à peine et... » Les syllabes sont mâchées, d’habitude t’es pas le genre de mec à faire des aveux, mais là, tu sens que dans l’instant, y a rien de mieux à faire. « … Et tu as éclairci ma journée, vraiment. Alors, j’sais pas trop quoi t’dire de plus, Louis, mais j’veux juste que tu saches que j’ferais tout pour pas être une déception de plus, à tes yeux. J’te promets que t’auras pas de pincement, que j’ferais tout pour éviter que tu souffres. Valà. »

Ses mots suivants te touchent bien plus profondément que tu l’aurais voulu. Tu lui fais un sourire timide, et l’observe manger, te demandant comme tu as bien pu faire pour t’attacher aussi vite à cette drôle de bête là. Tu regardes ton assiette ; elle est vide. Milan, tu avais donc vraiment faim. Tu lui lances, un sourire en coin. « Je ferais tout pour qu’elle le soit. Solide. Fondée. Et sans limites. Promis. »
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Re: he trip when he on it , le Mar 16 Jan - 19:57

 
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Toutes ses réponses me remuent le coeur. Comment ai-je pu m'attacher à lui alors que ça ne fait que quelques heures qu'on se connait réellement et encore, réellement est un bien grand mot? Je ne peux m'empêcher de sentir ce rouge se coller sur mes joues, je ne sais pas quoi lui répondre. Je suis actuellement sans voix. Assiettes finies, je fais signe au serveur de me donner l'addition que je paye immédiatement. Je me lève et me dirige vers la sortie accompagné du milanais. "Que faisons nous? On va chez moi du coup?" lui demandais-je en me allant dans cette direction. Bien qu'il soit à mes côtés, je lui lance des coups d'oeil et des petits sourires, ce genre de sourire lorsqu'on aperçoit la personne qui nous plait. Nous voilà devant la porte de chez moi, par simple automatisme. Nous entrons après avoir ouvert la porte et fais doucement pour celle de l'appartement. "Ma colocataire est peut-être à l'intérieur, je ne sais pas encore." le prévenais-je avant qu'il s'offusque de voir quelqu'un vivre avec moi. "Gaby garbage?" criais-je dans le loft. Personne. Je retrouve mes aises et le avance pour le laisser passer. "Fais comme chez toi pour le coup, ma chambre est juste à ta droite." lui indiquais-je en refermant après moi. "Un petit digestif?" lui demandai-je en me dirigeant vers la cuisine tout en sortant deux verres et une bouteille d'eau de vie. Je remplis les verres de shooters et tends ce dernier vers Milan, voir s'il me suit ou pas. "A toi, à moi et à notre peut-être nous naissant!" dis-je avant de boire mon verre d'une traite. "Je ne sais pas toi mais je n'ai envie de rien faire si ce n'est m'écrouler dans mon lit et dormir pendant 15 heures minimum." ajoutais-je en m'accoudant au comptoir tout en le dévisageant.
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Re: he trip when he on it , le Dim 21 Jan - 20:46

Tu finissais ton assiette dans un calme presque religieux -cette expression tranchait beaucoup trop avec vos intentions communes-, et tu lui jetais un regard de temps à autre. Ce mec était une vraie bombe, c’était impressionnant ; et pourtant tu étais compliqué, tu avais de nombreux critères tout en ayant très peu, et tu te retournais rarement sur quelqu’un dans la rue. Mais Louis n’était pas de ceux que tu aurais croisé dans la rue ; non, tu l’aurais abordé de loin, même de l’autre côté d’un boulevard s’il l’avait fallu, tant il te plaisait. Tu écoutes sa question, et une chaleur naît dans ton ventre, combinée avec cette fatigue qui semble te hanter. « Ce sera avec plaisir, oui. »

Vous arrivez donc chez lui, où il hèle d’un surnom -affectif ?- sa colocataire. Visiblement, elle est absente, et tu ne peux refréner un sourire ; tant mieux, tu es trop éreinté pour tenir une conversation viable. Tu ne peux t’empêcher de laisser promener ton regard aux alentours ; le loft de Louis est superbe. Assis vers son comptoir, tu le vois vous servir des shooters, et tu n’oses pas dire non, car tu ne veux pas le déranger. Tu veux rester toute la soirée durant aussi confiant, aussi à l’aise -en apparence, du moins. Alors vous avalez d’une traite, et tu ris à sa remarque. Un court silence, qu’il interrompt avec une nouvelle remarque. Tu soupires, soulagé. « Je n’aurais pu tenir deux minutes de plus. On va se coucher donc ? Enfin… Quand tu veux, hein. »
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