Kinley Davis
Nom : Davis, née Kovac • Prénom : Kinley • Surnom : Kiny... mon père m'appelle comme ça mais je n'aime pas trop • Age et date de naissance : J'ai 35 ans, je suis née un 15 août • Lieu de naissance : Austin • Études/Métier : Infirmière en néonatalogie • Statut civil : Mariée • Orientation sexuelle : Hétéro • Célébrité sur l'avatar : Amelia Warner
Physique :
Brune aux yeux noisettes, mes cheveux sont tantôt longs, tantôt courts... j'aime changer au gré de mes envies du moment. Je ne suis pas très grande et de corpulence assez fine. On dit que j'ai un joli sourire et il est toujours accroché sur mon visage. Il paraît que j'ai l'air douce et ça correspond plutôt bien à ma personnalité. En fait mon physique est plutôt passe partout, mon style est sobre et je ne suis pas du genre à prendre des heures pour me maquiller, préférant le naturel. Loin de ressembler à une bimbo ultra sophistiquée, je suis une fille simple qu'il est facile de ne pas remarquer. Mais tant que mon mari me voit, c'est tout ce qui compte à mes yeux.
Caractère :
Je suis une fille hyper optimiste, le genre qui voit toujours le verre à moitié plein. La vie, je l’aime et je la croque à pleines dents. Plutôt sociable, j’ai un cercle d’amis auxquels je tiens beaucoup et avec qui j’aime sortir de temps en temps. Mais pas trop souvent non plus. J’aime la tranquillité, une soirée simple au coin d’un feu de cheminée à boire un bon chocolat chaud. On peut toujours compter sur moi, je suis celle qu’on appelle quand ça ne va pas bien. D’ailleurs j’ai une grosse tendance à vouloir protéger tout le monde. Mon empathie n’est pas toujours facile à vivre car j’absorbe la peine des autres comme une éponge... mais je me fais toujours un devoir d’essayer de remonter le moral, de faire sourire. Fidèle en amour comme en amitié, j’ai souvent été trahie. Ce qui ne me tue pas me rend plus forte, alors j’ai avancé malgré tout. J’aime vivre le temps présent, ne pas m’appesantir sur le passé ou tirer des plans sur la comète. Maternelle avec les miens, je m'apprête à endosser un tout nouveau rôle, celui de maman. De quoi me donner encore plus le sourire.
Histoire :
Mes parents viennent de Croatie. Ils étaient tous deux professeurs quand ils se sont rencontrés. Elle d’anglais, lui d’histoire. Un grand passionné mon père ! Ils étaient mariés depuis trois ans quand il a été invité à donner une conférence aux Etats-Unis et en fait, il n’en est jamais reparti. On lui a offert un poste à l’université d'Austin, proposé un à ma mère aussi pour que ça ne soit pas un frein à sa venue. Ils ont sauté le pas. Aussi c’est aux Etat-Unis que je suis née il y a trente cinq ans de ça. Pourtant la Croatie est un pays que je connais bien. Tous les ans on y retournait avec les parents pendant quelques semaines en été et une fois adulte j’ai continué cette tradition. Le reste de ma famille y vit. Grands parents, oncles et tantes, cousins... j’aime à les retrouver et à profiter des miens.
Maman est bipolaire. C’est un problème qui se soigne plutôt bien de nos jours, mais il faut rester vigilants. Elle a eu de grosses périodes de dépression et notre vie était un peu rythmée par ça. C’est un mal invisible qui ronge l’esprit insidieusement, on n’en guérit jamais vraiment. Et quand son père est mort d’un infarctus, ça l’a perturbé au point de ne plus réussir à refaire surface. J’avais quinze ans, et c’est moi qui l’ai retrouvée pendue dans le salon en rentrant de l’école. Un traumatisme qui m’a plongée dans le silence pendant six mois où je n’ai plus plus prononcé une parole. Thérapie dans un hôpital, retard dans ma scolarité... j’aime à dire que cette épreuve m’a forgée telle que je suis aujourd’hui. Car j’en suis ressortie plus forte. J’ai décidé de faire des études pour devenir psychologue et mieux comprendre les méandres de l’esprit.
L’université fut une période assez heureuse. Je suis restée à Austin pour ne pas abandonner mon père qui avait bien du mal à se relever de la mort de maman. C’est à cette période que j’ai rencontré Sacha. Croate, comme moi, on s’est vite trouvé des atomes crochus et pour tout dire je me voyais parfaitement faire ma vie avec lui. Mais Sacha était un coureur de jupons et si pendant longtemps je n’ai rien vu - ou refusé de voir - j’ai fini par le surprendre avec une autre fille. Trois ans qu’on était ensemble, pas le genre de relation qu’on oublie en un claquement de doigts. Heureusement j’avais mes études et décidais de me concentrer sur elles. Mes amis m’aidaient également à penser à autre chose qu’à mon cœur brisé !
Et j’ai fini par obtenir mon diplôme. J’étais très fière de moi, impatiente de rentrer dans le monde du travail. Mais hors de question de quitter le Texas, toujours pour papa. Ça limitait les recherches... Des mois que je cherchais en vain ! Et un jour j’ai croisé un un de mes maîtres de stage dans un café. Il m’a demandé des nouvelles et je lui ai expliqué un peu dépitée que je ne trouvais pas de travail. La semaine suivante j’étais convoquée pour un entretien à l’hôpital d'Etat où il travaillait. Il avait fait jouer ses relations. Mais il n’y avait pas de travail pour moi en psychiatrie... par contre on me proposait un poste d’infirmière au service néonatalogie ! A mille lieues de ce que je cherchais mais il fallait bien que je bosse, non ? Alors j’ai accepté. Autant vous dire que ça n’a pas été simple du tout. J’ai dû tout apprendre. Et puis voir mourir des enfants est loin d’être simple. J’ai souvent songé à démissionner, mais je m’entendais bien avec l’équipe, ça me motivait à tenir bon.
La vie a commencé à s’organiser gentiment. Peu à peu j’appréciais de plus en plus mon travail. Je m’étais installée dans un petit appartement cosy où j’aimais m’amuser à pâtisser les jours de relâche. Côté cœur ? Quelques aventures, rien de vraiment notable. A croire que je ne savais pas vraiment choisir mes petits amis ! Certains se sont révélés violents, d’autres d’une jalousie maladive impossible à gérer, d’autres infidèles... ou on n’avait simplement rien en commun. De déconvenue en déconvenue je me faisais une raison. J’avais mon boulot, que j’aimais finalement plus que je n’aurais pu imaginer pouvoir l’aimer, mes amis... et les voyages. J’adore les voyages. Tous les ans je vais voir ma famille en Croatie et profite du reste de mes vacances pour visiter d’autres pays. Le dernier en date m’a emmené en Nouvelle Zélande sur les traces des paysages du Seigneur des Anneaux. Pour une fan de Tolkien comme moi c’était incontournable ! Mais étrangement ce que je retiens de ce voyage, c’est le trajet de retour en Avion.
Il s’appelle Kelly, et on étaient assis l’un à côté de l’autre dans le vol retour. Voyage très long, et pourtant je n’ai pas vu le temps passer. On a discuté comme si on se connaissait depuis des années, riant beaucoup. Y'avait un truc chez lui qui m’interpellait... outre son magnifique regard azur bien entendu ! Quoi ? A vrai dire je n’en sais rien. Une certaine fragilité soigneusement cachée mais que les années d’étude - ou mon instinct - avaient décelé. J’avais envie de le connaître mieux mais à la fin du voyage nous nous sommes séparés sans qu’il ne me propose qu’on se revoie. Je me suis dit qu’il avait peut-être quelqu’un dans sa vie, ou que je ne lui plaisais pas. Alors je n’ai pas osé lui demander son numéro. Une déception, c’est certain. Mais quelques semaines plus tard nous nous sommes recroisés dans un bar où je prenais un verre avec mes amis. Sous leurs regards très intéressés et attentifs, il m’a abordée et cette fois il m’a demandé mon numéro. A partir de là tout a été très vite. Quelques semaines supplémentaires pour tomber irrémédiablement amoureux l'un de l'autre, quelques unes de plus pour nous marier et même mettre en route notre premier bébé. Il est prévu pour le dix décembre et je n'ai qu'une hâte, le serrer dans mes bras.
Prénom/Pseudo : A girl has no name •
Âge : Entre 25 et 65 •
Présence : 7/7 •
Comment as-tu connu le forum ? J'ai vu de la lumière ... •
Premier compte ou multi-compte ? Premier ! •
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