Le héro du dimanche w/ Morrigan, le Mer 24 Juil - 22:49
Aspen & Morrigan
Le héro du dimanche
On est dimanche et heureusement pour moi, c'est ma journée de repos. Cette semaine a été plutôt mouvementée, je suis enfin allé sur le terrain et j'ai participé à une interpellation. Mon esprit de gamin était super excité sur le fait, sauf qu'on m'a bien refroidi quand on m'a expliqué ce que le délinquant avait fait. Je n'avais même pas eu le temps de me reposer, car j'avais des papiers à remplir en plus de participer à l'interrogatoire du suspect. Et puis, quand je rentrais le soir je devais m'occuper de mon père. Le pauvre avait regardé sa série toute la journée afin de m'attendre pour que je l'aide à prendre son bain. Je devrais songer à employer une aide médicale, car je risque de devenir sacrément occupé et mon père ne pourra plus vraiment compter sur mon aide... Enfin, j'y penserai en rentrant. Pour le moment, je suis en train de me balader dans les rues d'Austin East. J'ai besoin de prendre l'air après cette semaine, j'ai besoin de voir du monde et aussi pouvoir profiter de ma journée de repos. Malgré que la moitié des magasins sont fermés, il y a beaucoup de monde qui se baladent en cette journée ensoleillée. Depuis que j'ai démarré ce boulot, je suis sur ma garde, limite stressé 24h/24. Je surveille mes arrières ainsi que celles des passants, je regarde chaque visage, l'environnement... Est-ce le boulot qui me rend ainsi ? Peut-être devrais-je me calmer un peu et me mettre en mode repos. Pendant que je marchais les mains dans les poches, je lève la tête avant d'apercevoir des petits cons à motos, faisant resurgir leurs moteurs au bout de la rue. J'avais à peine eu le temps de remarquer qu'ils n'avaient aucunes protections, qu'ils démarrent à fond la caisse comme si une course avait lieu. Mais en remarquant qu'une dame s'engage sur le passage piéton, je m'empresse de courir vers elle avant de la tirer contre moi pour éviter une catastrophe. La moto passe à quelques mètres de nous, puis je trébuche bêtement et me retrouve cul contre le bitume ayant entraîné la femme dans ma chute. Une foule s'attroupe dans notre direction, puis je me relève tenant toujours la femme pour l'aider à se relever en m'excusant énormément. « Madame, vous allez bien ? » je demande en priorité, « Excusez-moi de vous avoir entraînée dans ma chute. » dis-je en l'aidant à se relever avant d'enfin la lâcher. Je remarque facilement que je n'ai pas pu relever les plaques des motos, mais sauver une vie est bien plus important que relever la plaque d'idiots... Non ?
Re: Le héro du dimanche w/ Morrigan, le Lun 29 Juil - 17:21
Je me suis achetée un nouveau live en revenant du farmer's market, et comme à mon habitude, je n'ai pas su patienter pour le dévorer. Je sais que c'est inconscient de faire ça dans la rue, et j'aurais dû éviter mais ça a été plus fort que moi. Tout allait très bien, je rangeais mon livre dans mon sac à main pour me montrer raisonnable, me mettant en pause du deuxième chapitre pour surveiller le passage à piéton et j'attends sagement de pouvoir traverser quand ça serait mon tour.
C'est pour ça que je ne comprends pas trop ce qui se produit une fois que je m'engage sur la chaussée, dans mon bon droit. Il semblerait que les feux rouges n'arrêtent pas les motards qui doivent s'imaginer au-dessus des lois. Enfin, une poignée d'entre eux, dont un qui fonçait droit sur moi. J'imagine déjà la force de l'impact que je me retrouve plaquée contre le torse de quelqu'un sans pouvoir rien y faire. Quelques secondes plus tard nous étions à même le sol, moi sur lui, dans une posture un peu gênante.
Heureusement, le monsieur se charge de nous remettre sur pieds alors que je sens mes jambes flageller, sinon j'aurais pu rester allongée trois quart d'heures avant que je réalise que j'avais été à deux doigts de me faire percuter à moto.
-Je crois que je vais avoir besoin d'un wisky...
Je sens le sol se dérober sous moi sans que je puisse y résister et me raccroche à son bras par réflexe alors qu'il venait à peine de me rendre ma liberté. Je suis toute pâle et déboussolée:
-On pourrait s'asseoir quelque part?
Au diable la politesse, elle s'est sûrement fait la malle avec la prudence du chauffard, alors que je suis moi-même encore choquée, mon esprit cherchant à décanter ce que mon corps avait déjà capté:
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On est dimanche et heureusement pour moi, c'est ma journée de repos. Cette semaine a été plutôt mouvementée, je suis enfin allé sur le terrain et j'ai participé à une interpellation. Mon esprit de gamin était super excité sur le fait, sauf qu'on m'a bien refroidi quand on m'a expliqué ce que le délinquant avait fait. Je n'avais même pas eu le temps de me reposer, car j'avais des papiers à remplir en plus de participer à l'interrogatoire du suspect. Et puis, quand je rentrais le soir je devais m'occuper de mon père. Le pauvre avait regardé sa série toute la journée afin de m'attendre pour que je l'aide à prendre son bain. Je devrais songer à employer une aide médicale, car je risque de devenir sacrément occupé et mon père ne pourra plus vraiment compter sur mon aide... Enfin, j'y penserai en rentrant. Pour le moment, je suis en train de me balader dans les rues d'Austin East. J'ai besoin de prendre l'air après cette semaine, j'ai besoin de voir du monde et aussi pouvoir profiter de ma journée de repos. Malgré que la moitié des magasins sont fermés, il y a beaucoup de monde qui se baladent en cette journée ensoleillée. Depuis que j'ai démarré ce boulot, je suis sur ma garde, limite stressé 24h/24. Je surveille mes arrières ainsi que celles des passants, je regarde chaque visage, l'environnement... Est-ce le boulot qui me rend ainsi ? Peut-être devrais-je me calmer un peu et me mettre en mode repos. Pendant que je marchais les mains dans les poches, je lève la tête avant d'apercevoir des petits cons à motos, faisant resurgir leurs moteurs au bout de la rue. J'avais à peine eu le temps de remarquer qu'ils n'avaient aucunes protections, qu'ils démarrent à fond la caisse comme si une course avait lieu. Mais en remarquant qu'une dame s'engage sur le passage piéton, je m'empresse de courir vers elle avant de la tirer contre moi pour éviter une catastrophe. La moto passe à quelques mètres de nous, puis je trébuche bêtement et me retrouve cul contre le bitume ayant entraîné la femme dans ma chute. Une foule s'attroupe dans notre direction, puis je me relève tenant toujours la femme pour l'aider à se relever en m'excusant énormément. « Madame, vous allez bien ? » je demande en priorité, « Excusez-moi de vous avoir entraînée dans ma chute. » dis-je en l'aidant à se relever avant d'enfin la lâcher. Je remarque facilement que je n'ai pas pu relever les plaques des motos, mais sauver une vie est bien plus important que relever la plaque d'idiots... Non ? 
