AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

Partagez

Libre - Jamais là où il faut ! Toujours là quant il faut !


Invité
Invité
Anonymous


Libre - Jamais là où il faut ! Toujours là quant il faut ! Empty
Libre - Jamais là où il faut ! Toujours là quant il faut !, le Mer 8 Aoû - 16:26



Jamais là où il faut!
Toujours là quant il faut!

Blake et pseudo

C'était l'été. Le soleil brillait et les petits oiseaux chantaient. En se levant ce matin-là, Blake ne se doutait pas une seconde que la belle journée qui s'annonçait allait aussi bien se passer qu'il n'y paraissait. Depuis quelques jours maintenant, il vient d'intégrer la nouvelle unité de la police d'Austin. Les « cold cases ». Ils ne sont que quatre inspecteurs à travailler sur ses dossiers non résolus. Des meurtres qui datent pour certains d'il y a vingt ans ou plus. Le sergent responsable de cette petite unité connaissait bien la détermination et opiniâtreté du grand brun et il était allé personnellement le chercher. Et il avait eut raison. Dès qu'il avait été informé de la mission de ce petit groupe de flics, Blake avait tout de suite accepté de les rejoindre. L'idée que des familles vivent dans l'ignorance depuis autant d'années lui semblait inconcevable. Sa propre expérience lui interdisait de ne pas se donner à fond pour rechercher les coupables de ses actes horribles. Il s'était mis au travail immédiatement, attrapant le premier dossier de la pile. Malheureusement, le travail allait être difficile. Mais cela ne lui faisait pas peur. Aujourd'hui, il devait se rendre chez un des témoins de son affaire avec son équipier. Seulement avant de se rendre au commissariat pour prendre son service, il devait faire un crochet par la banque. Dans quelques semaines, Blake allait fêter le dixième anniversaire de sa nouvelle vie et à cette occasion, il avait décidé de s'offrir l'appartement qu'il louait depuis toutes ses années. Le propriétaire venait de lui annoncer qu'il comptait vendre alors c'était l'occasion ou jamais. Il avait donc prit rendez-vous dès l'ouverture de l'agence bancaire avec son conseiller pour voir les possibilités de prêts qu'il pouvait obtenir.

Lorsque Blake pénétra dans la banque, quelques clients étaient déjà en train de patienter. Rapidement, l'homme avec qui il avait rendez-vous était venu le chercher et ils s'étaient installés dans son bureau. Les deux hommes étaient en train de faire un point sur la situation du flic quand un grand bruit se fit entendre. Rapidement, des cris résonnèrent et un homme encagoulé ouvrit violemment la porte pour emmener les deux hommes avec les autres. Un braquage. Alors qu'il venait de rejoindre les autres clients ainsi que le personnel qui se trouvait dans le hall, Blake tentait d'analyser la situation. Il ne devait pas agir à la léger s'il ne voulait pas que la situation vire à la fusillade. Pour le moment, il se contentait d'obéir aux ordres que les braqueurs aboyaient. Il se retrouva donc assis sur le sol au milieu des autres otages, dans le fond de la pièce. L'un des hommes masqués parti avec le directeur d'agence, certainement au coffre. Il n'y avait plus que deux braqueurs. Blake regardait tout autour de lui, observant les civils qui se trouvaient à ses côtés, à la recherche de quelqu'un ayant l'air assez calme pour agir en même temps que lui. Malheureusement, il ne voyait que peur, frayeur voir même terreur sur les visages.

Brusquement un coup de feu retenti. Une des employées s'écroula au sol, une tache rouge sur la poitrine. Un hurlement d'horreur. Un nouveau coup de feu. Une nouvelle victime au sol. Tout se passait très vite et la situation dégénérait. Poussé par son instinct de flic, il sortit son arme, attrapa la main de la personne qui se trouvait à côté de lui, l’entraînant derrière un bureau qu'il renversa afin de se mettre à couvert. Il tira une première fois, puis une seconde. Il venait de toucher l'un des braqueurs au bras. Cela avait suffi pour faire déguerpir les malfrats. Lorsque le danger fut écarté, Blake se tourna vers la personne qui se trouvait près de lui et lui demanda d'une voix apaisante :

« Vous n'avez rien ? Ça va aller maintenant, c'est fini. »

©️ YOU_COMPLETE_MESS
Invité
Invité
Anonymous


Libre - Jamais là où il faut ! Toujours là quant il faut ! Empty
Re: Libre - Jamais là où il faut ! Toujours là quant il faut !, le Jeu 13 Sep - 0:02

>
Jamais là où il faut !
feat Blake
Je brosse mes longs cheveux roux, nue devant miroir en pied qui trône dans ma chambre qui est aussi grande que mon égo : c’est-à-dire, gigantesque. C’est une brosse en bois et en poils de sanglier, le genre de brosse qui adouci les cheveux d’un seul geste. Un geste apaisant, un rituel qui annonce mon début de journée. Lorsqu’ils sont parfaitement brossés et que plus aucun nœud ne vient perturber ma chevelure, je me rends dans la pièce annexée à ma chambre, mon dressing. C’est ça être riche : trouver une utilité à chaque pièce. J’ai le luxe de posséder une penderie aussi profonde que la brousse, aussi longue que la muraille de Chine. Aujourd’hui j’opte pour une robe blanche et fleurie. Je glisse dans mes pieds des talons hauts rouges, histoire de prendre encore plus de hauteur sur le peuple qui va m’entourer lorsque j’irais dans les rues d’Austin dans quelques poignées de minutes. Aujourd’hui, je devais aller à la banque pour aller retirer de l’argent afin de pouvoir m’acheter un collier qui valait son pesant d’or. Ce collier, je le voulais plus que tout et je devais payer cash. Mon compte en banque était bien garni, assez pour nourrir l’Afrique mais malheureusement, je ne pouvais retirer une telle somme au distributeur. Une fois habillée et maquillée sobrement excepté mes lèvres qui sont teintées d’un rouge criard, j’attrape mon sac à main et je descends à la cuisine pour emporter une pomme que je grignoterais dans la voiture.

Je me glisse dans ma voiture, une coupé noire cabriolet, et je sillonne les rues pour me diriger vers la banque. Je sais que je vais avoir des difficultés pour retirer tout cet argent, après tout je suis toujours mineure mais je compte bien arriver à mes fins avec l’argumentaire que j’ai prévu de balancer au nez de cet abruti de banquier. Je gare ma beauté sur roues sur le parking et je pénètre dans la banque. Je me glisse dans la file attendant sagement mon tour tout en jugeant les hommes et les femmes autour de moi. Je n’ai aucun scrupule à les regarder de haut en bas, ils le méritent. Ces gens n’ont qu’à pas manquer de classe. Soudain un bruit violent, les portes s’ouvrent à la volée et surprise par ce grand fracas, je me retourne en sursautant. Les gens se mirent à hurler en voyant des hommes cagoulés entrer pour braquer la banque. Je lève les yeux au ciel, pourquoi aujourd’hui ? Je me résigne à m’assoir au sol comme ils l’indiquent. Ma robe va être froissée et salie. Je bouillonne. Je n’ai pas peur. Ils ont l’air perdus, égarés, comme si c’étaient des chiots qui venaient d’être arrachés à leur mère. Je soupire d’agacement. Un homme s’en va avec un banquier, ils ne sont plus que deux. Alors que je m’apprêtais à me lever pour les remettre à leur place, un coup de feu se fit entendre et une employée reçu une balle en pleine poitrine. Des cris, des hurlements mais moi, je ne pouvais détacher mes yeux du sang qui coulait sur le sol. Cette magnifique couleur qui m’hypnotisait. Voir un mort ne me dérangeait pas, enlever la vie de quelqu’un c’est futile mais parfois nécessaire.  Alors que je prenais plaisir à regarder cette tâche grandissante sur la poitrine de la bancaire, on attrape ma main alors qu’une seconde victime venait d’être assassinée. Je me retrouve derrière un bureau, frustrée de ne pas avoir pu assister au spectacle que m’offrait les gangsters. Un autre coup de feu, à côté de moi, puis le silence. L’homme me parle comme si j’étais une chose à protéger. Il m’agace.

« Tout allait très bien avant que vous ne me tiriez par la main pour jouer au policier et aux voleurs ! »

Les hommes m’énervent à jouer aux héros, à protéger les femmes car soi-disant nous sommes le sexe faible.

« D’ailleurs, peut-être que si vous aviez réagi plutôt, vous n’auriez pas deux morts sur les bras. Tout est de votre faute. »

J’aime être hautaine et lui, il n’échappera pas à la règle parce qu’il a une arme en main. Qu’il me menace si ça lui chante, je sais qu’il n’aura pas le cran de me descendre.
☾ anesidora

Libre - Jamais là où il faut ! Toujours là quant il faut !

Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» SUJET LIBRE - Poisseuse pour un jour, poisseuse pour toujours.
» Le lundi au soleil, c'est une chose qu'on aura jamais. - Kathlyn
» Melyna - Trop de confiance en soi, ce n'est pas toujours bon !
» jamais sans ma blonde (esvir)
» Kelly - Libérée! Délivrée! Je ne marcherais plus jamais!

La boite à souvenirs :: Hors jeu :: 2018-